1966 - à Paris je rencontre dans le cadre de mes activités professionnelles, Jean-Michel FERRARI qui est membre de la Commission OURANOS , auteur d'un petit recueil publié par Marc THIROUIN et qui a pour titre "  la vérité sur l'affaire de FATIMA " . En parallèle je lis un certain nombre d'articles dans la presse et surtout Le Parisien, à propos des OVNI. Je me passionne enfin pour le phénomène après la lecture du premier ouvrage de Franck EDWARD, "Soucoupes Volantes, affaires sérieuses " . Dans ce contexte, j'apprends bien vite l'existence du GEPA et dès 1966 j'assiste à leurs réunions, n'hésitant à me rendre le soir à Paris, me déplaçant à Meaux (30 kms de mon domicile) en mobylette, afin d'y prendre un train me permettant de rentrer tard dans la nuit..

Au GEPA, Joël MESNARD et surtout Jean-Louis BECQUEREAU deviennent mes références. Le premier m'enseigne les méthodes d'enquêtes, le second passionné par des recherches plus matérielles me permet de me familiariser avec le ciel par deux années successives passées sur le terrain dans le cadre de nuits continues d'observation du ciel, et ce durant un mois, 24 h sur 24. Nous nous relayons nuit et jour, observant le ciel avec passions, à partir de camps situés dans les hauteurs de Nice /Grasses/Vence, ce qui nous permettait d'avoir un champ de vision impressionnant de la côte d'Azur.

M'engageant de plus en plus, je prends une part active en 1967/1968 lors de la création du GEOS à Genève (Le GEOS Suisse avait été créé le 31 mai 1968) sous la présidence de PERRINJACQUET (ingénieur et auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet) et l'active participation de Roland VAGNETTI. Après deux ou trois voyages à Genève et discutions avec les animateurs du GEOS, en 1968, après la parution du 2^éme ou 3^éme numéro du bulletin du GEOS en Suisse, je fonde le GEOS France, représentation du GEOS de Genève en France. Actif, je fais mes premières interventions à la radio (France Inter avec Claude VILLERS que j'alimente en documentation pour ses émissions journalières et qui me cite régulièrement en communiquant mon adresse, ainsi que dans divers journaux). Ayant fait imprimé au duplicateur quelques milliers (3000 si je me souviens bien) de prospectus destinés aux mille à deux milles lettres reçues suite à mes interventions (il est à noter qu'à cette époque l'adresse cité à la radio suite à une bonne émission, pouvait engendrer facilement 500 lettres, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui). Ceci à pour effet d'occasionner le recrutement de 100 à 200 abonnés en quelques semaines.

C'est alors que je fais l'apprentissage à mes dépens, des dures réalités du monde associatif : le bulletin 4 du GEOS en Suisse voit péniblement le jour, mais le 5 se fait attendre......... Et à ce jour il n'est pas encore paru....  Une sombre histoire à Genève se passe sans que je n'en connaisse exactement les fondements, mais il en résulte que PERRINJACQUET ne s'occupe plus du GEOS Suisse et que Roland VAGNETTI n'assure plus sa tâche, les " fonds "  ayant disparu ! ! ! ! Devant cet état de fait, et le fait que mes abonnés ne reçoivent rien, dés l'hiver 68 /69 j'achète un duplicateur GESTETNER sur mes premiers salaires péniblement gagnés à cette époque dans l'administration des PTT, et j'entreprends avec les quelques amis qui déjà se réunissent régulièrement à REBAIS, la rédaction du 1^er numéro du bulletin du GEOS France, que nous appellerons GEOS INTERNATIONAL, ceci en accord avec R.P. PERRINJAQUET et Roland VAGNETTI . PERRINJACQUET est d'ailleurs rédacteur en chef du 1^er numéro, car il avait à cette époque fourni une importante contribution de textes et informations utilisés pour ce 1^er numéro. Un dessinateur de Châlons-sur-Marne, Daniel BOILEAU et un animateur Gérard LANTZ aident à la parution de ce numéro ainsi qu'à la promotion. Lors de l'émission TV "CONTACT" il est cité et présenté  ce qui avec le soutien de plusieurs articles de presse et une importante présentation de mes activités dans le BULLETIN DES POSTES ET TELECOMMUNICATIONS diffusé à plusieurs centaines de milliers d'exemplaires assure la première centaine d'abonnés nécessaires au financement du projet. Avant la parution de la revue, l'association GEOS France était née (publication le 5 juin 1969 au J. O. page 5600). La revue quant à elle paraissait le 1^er juillet 1969. Un écrivain, Robert CHOTARD, auteur de Jules Verne aux Extraterrestres, contribue également à l'apport d'abonnés grâce à son fichier d'amis, abonnés qui resteront longtemps fidèles au GEOS.

Régulier, le Nr 2 sortira dès septembre et on citera a ce moment la collaboration active de J. C. DOHMEN (auteur d'un ouvrage sur le phénomène) Henri BORDELEAU du Canada, la part active que je prends en écrivant dans l'éphémère revue MIROIR DU FANTASTIQUE. Le Nr 3 paraîtra en Novembre avec le rattachement au GEOS de l'OREPI un petit groupe de VIENNE dans l'Isère. Le Nr 4 en janvier 70 avec le nouveaux venus : Guy TARADE, Jacques POTTIER qui écrira plus tard un ouvrage sur le sujet, ETC......

Au cours du 1^er trimestre 1970, Alfred NAHON du Courrier Interplanétaire édite son dernier numéro, sous les presses du GEOS et financé par le GEOS. Il lance un appel pour tenter de renflouer le CI., mais sans résultat, car le GEOS assurera ensuite gratuitement le service de sa revue aux abonnés du Courrier Interplanétaire, et ce jusqu'à la fin de l'engagement d'Alfred NAHON vis à vis de ces derniers.

La revue GEOS INTERNATIONAL poursuivra sa parution régulière tous les deux mois, tirée au duplicateur et ce jusqu'au numéro 12. Toutefois lors de la parution du Nr 9 elle prendra le titre de "  LES EXTRATERRESTRES. Elle verra la collaboration durant ces trois années de V. J. B. OLMOS du CEONI en Espagne, écrivain sur le phénomène par la suite, Robert FUTAULLY astronome à MEUDON, Gène DUPLANTIER, Serge HUTIN, etc. .......

En Juillet 1971, la revue, éditée alors tous les deux mois, deviendra bimensuelle, imprimée, et comptera une trentaine de collaborateurs actifs. Mais le travail manuel représenté par l'envoi d'un millier de numéros tous les 15 jours devient insupportable et le dernier numéro de cette formule verra le jour en Janvier 1972.

En 1971 sera éditée la 1^ere série de L'HISTOIRE DES SOUCOUPES VOLANTES EN DIAPOSITIVES, projet élaboré avec un éditeur qui tombera en faillite dès la première série éditée. Connaissant la technologie pour mener à bien ces éditions, je prends la relève et 9 séries paraîtront en 15 années. Un tel projet compte tenu de son coût était " osé "  à l'époque.

On édite à cette époque : autocollants, Pares soleil de voiture, Insignes en métal tout cela au nom du groupement. Les problèmes de santé, l'absence de rémunération suite à 2 années d'hôpitaux et de centre de rééducation font que le financement ne suit pas. Le renouvellement des abonnements en 73 n'est pas à son plus haut niveau. Le Nr 22 ne sortira donc qu'en Juillet avec la reprise d'une parution tous les deux mois. Imprimée, elle ne conservera pas cette présentation avec le Nr 22 qui redeviendra édité au duplicateur.

En parallèle, et ce dès 1967, je suis en contact avec Pierre DELVAL du GEMOC et de Phénomènes Inconnus, de Marc THIROUIN de la CIES-OURANOS , revue Ouranos devenu Ciel Insolite avec la création en 1967 de l'UGEF (Union des Groupements Espiologiques de France et de langue Françaises) et de Francis SCHAEFFER du GEOCNI. Je participe avec DELVAL, THIROUIN et SCHAEFFER (et peut être d'autres dont je ne me souviens plus) à Grenoble et Valence aux réunions qui mettrons en place les statuts de l'UGEF (dont je dispose). Publiée au J.O. l'UGEF est donc officielle. Un mémorandum est publié en mars 1968 (dont je dispose) qui reprend une déclaration de la réunion de Toulaud (Ardèche) du comité scientifique, à propos de l'isolement et du manque de moyen des groupements.

Il est a noter que la CIES Ouranos fondée en 1951, se réunissait dans une salle de l'école Pascal à Paris ou se retrouvait déjà lors de ses débuts : Ms Couten, Guieu, A. Michel, H. Chevalier, Dr Pagès, J. Vuillequez, Mme S. Saunier, Delval, Conselin........ Marc Thirouin nous a quitté en août 1972. Ses archives ont été détruites après sa mort, personne ne s'en étant préoccupé, et un membre de sa famille les ayant fait enlever pour débarrasser le logement.

Le résultat de cette collaboration fait que le numéro 23 de Nov. Dec 72 de la revue LES EXTRATERRESTRES à le même contenu rédactionnel que PHENOMENES INCONNUS. Ce sera de même pour le numéro 24. En effet , et ce pour une période de 4 mois. Un accord est en cours d'élaboration afin de fusionner et de regrouper de nombreuses associations. Durant cette période, la revue commune, qui dispose chacune de sa propre rédaction est donc éditée en commun par le CFRU association dans laquelle le GEOS est en cours de fusion et de la "  F.S.U. "  Fédération Suisse d'Ufologie active à cette époque. Il s'agit d'un organe commun édité dans le cadre d'une coordination européenne. Ceci demande des déplacements fréquents en Lorraine, Suisse et Grenoble.

Un protocole d'accord signé par le président du CFRU (Schaeffer), l'UGEF (Delval) et le GEOS (Lebat) que je détiens, signé le 20 mars 1973 fait que le GEOS est absorbé dans la structure du CFRU , qu'il deviendra dorénavant : service de documentation et prospection du CFRU. Pour aller plus loin, nous retrouvons donc à cette époque la structure suivante : l'UGEF avec deux sections : le CFRU et la FSU.

Une fusion de revues se fait en parallèle : CIEL INSOLITE DE THIROUIN (qui ne paraissait plus déjà) PHENOMENES INCONNUS DE DELVAL ET LES EXTRATERRESTRES. Le nouveau titre sera OURANOS. Reprise de la parution de l'ancienne revue fondée par THIROUIN. Le premier numéro d'OURANOS, organe de l'UGEF, regroupant les trois revues précitées paraît donc en Mars 1973.

Fin 1973, nouvelle évolution et apparition du sigle UGEPI (Union des Groupements d'Etudes des Phénomènes Inexpliqués). En remplacement de l'UGEF , qui est placé sous la présidence de P. DELVAL et qui regroupe : LE CFRU - LE CEREIC de Nice, la F.S.U de Genève, le GREPI de Strasbourg, le GEEPC de Perpignan, le GEOS rattaché lui-même au CFRU. A cette époque beaucoup de groupements se créent en France. Les unions s'organisent, mais en réalité ce ne sont que des déplacements nombreux qui usent les responsables d'unions, si bien que toute cette organisation, est sans cesse remise en cause et n'est pas viable. Jamais les unions ne fonctionneront longtemps. J'ai moi-même parcouru en 72/73/74 les routes de France, rencontrant la majorité des dizaines de présidents d'associations pour tenter des regroupements fiables, mais en vain. Le CFRU dispose quant à lui de très nombreuses sections en France et en Europe. Mon rôle étant la prospection et le service de documentation a cette époque, je fais un certain nombre d'émission TV ou radio dans ce cadre. En 74 OURANOS se dote d'une représentation à Bruxelles avec une tentative de Fédération Belge d'Ufologie rattachée à l'UGEPI.

A cette époque, (74 /76) DELVAL rencontre beaucoup de problèmes personnels, publie irrégulièrement la revue, ne tient plus compte de l'avis général et s'entoure de personnages qui lui causent beaucoup de torts. (Alain GADMER, qui fait pour DELVAL des centaines de conférences, malheureusement pas sérieuses à orientation parapsychologiques ). La revue s'en ressent et le contenu change d'orientation. Il perd de nombreux collaborateurs et fin 75/début 76 je cesse toute collaboration avec l'UGEPI. OURANOS ayant une si mauvaise réputation que Pierre BELLEMARRE dès 74 ne voulait pas la recevoir dans ses émissions, ce qui ne me facilitait pas la tache dans le rôle de promotion que je souhaitais avoir, et que je ne pouvais plus accomplir.

Au cours du printemps et de l'été 1976 Guy CAPET et Bernard CHARBONNIER me contactent et après des très fréquentes visites, l'idée de relancer le GEOS et la revue LES EXTRATERRESTRES est lancée. Je soumets l'idée à plusieurs ufologues généralement débutant, qui nous suivent. Une première réunion est organisée en Août, puis une seconde le 9 octobre au centre culturel du 10ème à Paris, qui deviendra pour 5 ans notre point de rencontre mensuel à Paris. Thierry PINVIDIC, Raymond BONNAVENTURE et Guy CAPET sont chargés d'approuver ou de rejeter les articles, le tout devant être bouclé pour le 25/10. Le bureau du GEOS est assuré par R. BONAVENTURE, B. CHARBONNIER et moi-même. Les réunions se suivent à un rythme important et le 1^er janvier 1977 le numéro 1 de la revue, nouvelle série, imprimée avec photos sur papier couché de luxe, paraît.

La revue paraîtra régulièrement chaque trimestre jusqu'en juillet 1981, date à laquelle il fut décidé de mettre fin à la parution compte tenu du fait que le nombre des renouvellements d'abonnements avait chuté dans des proportions catastrophiques, suivant pour cela, la disparition de la majorité des associations et le désintérêt du public pour ce phénomène.

Outre la revue, je réalisais avec les animateurs du GEOS, plusieurs dizaines de conférences chaque année (2 à 4 par mois entre Oct. et Mai), des expositions. Nous participions à des congrès. Le montage audiovisuel réalisé par un passionné d'audiovisuel faisait de nos conférences ou prestations un spectacle de qualité. Chaque année, nous organisions une grande soirée d'observation avec la participation de la presse parlée, lue et télévisée, ceci grâce au soutien très actif du directeur scientifique de l'AFP, qui nous assurait une couverture systématique de toute la presse française et des contacts innombrables et impensables sans son appui. Ce succès nous valu certains problèmes à cette époque avec L.D.L.N. de Paris et le G.E.P.A.

Depuis la cessation de publication de la revue, j'ai pris un certain recul avec l'ufologie, m'y intéressant, participant si besoin aux réunions, aux congrès, au émission TV ou Radio mais ne consacrant plus un temps important à ce thème. Depuis deux années j'assure entre autre la programmation des repas ufologiques parisiens. J'ai toujours un service de documentation et je dispose d'un certain nombre d'ouvrages épuisés en librairie certains en un nombre important.

Rédigé en 1997 par GERARD LEBAT à l'intention de Pierre LAGRANGE et sur sa demande.

Revue en Octobre 97.

HISTORIQUE DE LA PUBLICATION DE LA REVUE DU G.E.O.S.

Juillet 1969Publication du numéro 1, édition bimestrielle au duplicateur à encre. Titre : GEOS International. 26 à 30 pages dans cette série au duplicateur.

Septembre 1969Edition du numéro 2 . Titre GEOS International.

Novembre 1969Edition du numéro 3 . Idem

Janvier 1970 Edition du numéro 4 . Couverture imprimée, le reste au duplicateur à encre avec insertions de dessins par stencils électroniques. Publication au nom du GEOS.

Mars 1970Edition du numéro 5 . Couverture imprimée + 1ere page se Menu imprimée. Le reste au duplicateur. Publication au nom du GEOS.

Mai 1970Edition du numéro 6 . Idem

Juillet 1970Edition du numéro 7 . Idem

Septembre 1970Edition du numéro 8 . Idem

Novembre 1970Edition du numéro 9 . Prend le titre de "LES EXTRATERRESTRES", Revue Internationale.

Janvier 1971Edition du numéro 10 .

Mars 1971Edition du numéro 11 .

Mai 1971Edition du numéro 12 . Le stencil électronique remplace les stencils courants. Publication au nom du GEOS.

Juillet 1971Edition du numéro 13 . Présentation imprimée sur 4 pages, en offset avec photos devient BIMENSUEL.

Juillet 1971Edition du numéro 14 . Idem

Aout 1971Edition du numéro 15 . Idem

Aout 1971Edition du numéro 16 . Idem

Octobre 1971Edition du numéro 17 . Présentation identique mais sur 8 pages. Publication au nom du GEOS.

Novembre 1971Edition du numéro 18 . Idem mais sur 4 pages offset avec photos.

Decembre 1971Edition du numéro 19 . Présentation identique mais sur 8 pages.

Janvier 1972Edition du numéro 20 . Idem

Juillet/Aout 1972numéro 21 . Toujours le titre LES EXTRATERRESTRES Revue Internationale, mais totalement imprimée avec photos, 20 pages. Publication au nom du GEOS.

Septembre/Octobre 1972numéro 22 . Présentation à nouveau au duplicateur, avec couverture imprimée.

Novembre/Decembre 1972numéro 23 . Présentation imprimée avec photos sous le titre LES EXTRATERRESTRES, mais contenu identique à Phénomènes Inconnus de PIERRE DELVAL.

Janvier/Fevrier 1973numéro 24 . Idem. Publication au nom du GEOS.

Mars 1973Devient commun avec OURANOS numéro 6 Direction de Pierre DELVAL. Edition commune sous le nom d'OURANOS de CIEL INSOLITES (déjà disparu !) de PHENOMENES INCONNUS et de LES EXTRATERRESTRES. Le titre OURANOS étant inutilisé depuis le décès de MARC THIROUIN, il est repris par Pierre DELVAL La reprise de la publication se fait au nom de l'union des Groupements Espiologiques de France et de langue Française - UGEF - à laquelle participe la Fédération Suisse d'Ufologie ' FSU - et le CFRU. Le GEOS est à cette époque composante de la structure du CFRU selon accord de mars 1973. Le CFRU fait lui même partie de l'UGEF. Le GEOS devient par ce même accord : SERVICE DE DOCUMENTATIO DU CFRU et sera régulièrement mentionné à ce titre dans OURANOS. Cette collaboration verra éditer les numéros :

 7 d'OURANOS en Avril 1973

 8 d'OURANOS en Juillet 1973

 9 d'OURANOS en Octobre 1973

10 d'OURANOS en Janvier 1974

11 d'OURANOS en Mars 1974 (L'UGEF devient UGEPI).

12 d'OURANOS en Juin 1974

13 d'OURANOS en Octobre 1974

14 d'OURANOS en Mars 1975

15 d'OURANOS en Fevrier 1976

La publication d'OURANOS, théoriquement Bimestrielle, mais effectivement
trimestrielle n'étant plus régulièrement assurée, et pour d'autres
motifs, un comité se réuni à REBAIS et fait revivre le GEOS.

Janvier 1977PARUTION DU 1^er NUMERO DE LA REVUE LES EXTRATERRESTRES nouvelle formule, imprimée sur papier glacé, avec photos. La parution se fera régulièrement tous les trimestres jusqu'au numéro 19 de Juillet 1981 époque ou l'UFOLOGIE s'est " effondrée" . Sous l'impulsion essentielle de Raymond BONNAVENTURE, la revue deviendra HYPOTHESES EXTRATERRESTRES dès le numéro 13.